dimanche 9 août 2015

Ecco quel fiero istante

Pour les plus studieux,
un petit trio estival pour ne pas perdre les bonnes habitudes :
il s'agit du 5ème nocturne de Mozart
(on ne change pas une recette qui gagne)


Nous chanterons en italien, puisque c'est Metastasio l'auteur de la poésie

en voici la traduction :

Voilà cet instant cruel,
Nice, ma belle Nice, adieu,
Comment vivrais-je, ma bien-aimée,
Ainsi, loin de toi ?
Je vivrai toujours dans la peine,
Je n’aurai plus de joie.
Et toi, qui sait si jamais
Tu te souviendras de moi ?


et voici les tutoriaux